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Ces articles constituent le deuxième tome d’un livre, résumé de plus de trente-cinq ans passés à apprendre le soin pour les animaux et les hommes, à l’exercer tous les jours. Et le résumé de cinquante-cinq ans de pensées sur la vie. Car quand on choisit l’ostéopathie, le concept de globalité est infini .... Et soigner un symptôme revient à soigner un être dans son corps, ses émotions, sa vie, sa société, son époque ... Aussi pour mieux soigner chaque jour, il convient de toujours élargir son point de vue, sa conceptualisation vers d’autres horizons. Vertigineux mais indispensable. Le premier Tome nous parlait de Maths et d’ostéopathie (La Vie Tenségritive (1)).
La forme PDF disparait, mais les éditions Sully le publie en format papier pour le milieu 2020 |
La vie tenségritive ; Tome 2 |
Que s’est-il passé dans la vie de Still le 22 juin 1874 ?
XIVe Rencontres d’Ostéopathie Comparée - Montjoie (09, France) – 23 Juin 2019
– Parce que la globalité nous demande d’aller mettre le nez au delà du symptôme dans l’environnement dans lequel vit le patient, il est bon je crois de s’intéresser aux révolutions de nos sociétés qui changent à une telle vitesse que nous ressemblons tous à une crevette dans l’eau froide en train de chauffer (immobile, inconsciente de ce qui se passe). Ce texte de Docteurdu16 nous a paru poser une problématique qui devient fondamentale pour notre réflexion médicale. (Pat CHN)
– Je me permets de vous partager cet article qui je pense vous ravira - si vous ne trouvez pas le lien, le voici : http://docteurdu16.blogspot.com/2019/06/orwell-est-partout-huxley-est-nulle-part.html
En ce qui concerne la "novelangue", lire le petit opuscule de Éric Hazan - LQR : La propagande du quotidien, éditions Raisons d’agir 2006, 128 p. 8 euros, http://www.raisonsdagir-editions.org/catalogue/lqr/ :
Descriptif : De modernité à gouvernance en passant par transparence, réforme, crise, croissance ou diversité : la Lingua Quintae Respublicae (LQR) travaille chaque jour dans les journaux, les supermarchés, les transports en commun, les « 20 heures » des grandes chaînes, à la domestication des esprits. Comme par imprégnation lente, la langue du néolibéralisme s’installe : plus elle est parlée, et plus ce qu’elle promeut se produit dans la réalité. Créée et diffusée par les publicitaires et les économistes, reprise par les politiciens, la LQR est devenue l’une des armes les plus efficaces du maintien de l’ordre.
Ce livre décode les tours et les détours de cette langue omniprésente, décrypte ses euphémismes, ses façons d’essorer les mots jusqu’à ce qu’ils en perdent leur sens, son exploitation des « valeurs universelles » et de la « lutte antiterroriste ». Désormais, il n’y a plus de pauvres mais des gens de condition modeste, plus d’exploités mais des exclus, plus de classes mais des couches sociales. C’est ainsi que la LQR substitue aux mots de l’émancipation et de la subversion ceux de la conformité et de la soumission. (JLBoutin)
– Le sujet est sans fin et tellement actuel, un livre non cité ici et très similaire, Globalia : https://www.babelio.com/livres/Rufin-Globalia/2093 (PatCHN)
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