Cette assertion de A. taylor Still, fondateur de l’ostéopathie (inventeur du mot ostéopathie et d’une certaine forme d’ostéopathie....) a été reprise comme un grand principe fondamental de l’ostéopathie.
Mais...Car il y a un mais.
Laissez le corps et l’esprit se débrouiller après une manipulation est bien, nous le testons tous les jours, et constatons que c’est bien, mais est ce suffisant ?
Cette façon de faire suppose deux choses :
une capacité à réagir en une seule fois,
et une capacité à réfléchir sur les conditions qui ont amené à cet état de chose et à s’en extraire.
Dans le premier cas une pathologie bien ancrée mériterait d’être accompagnée (je n’ai pas dis guidée...) vers un mieux être pour être sûr de ne pas retomber dans l’ornière. Et quand on est cheval à moins de briser sa clôture, il est bien difficile de choisir son train-train (travail , nourriture, conditions de vie...).
Autant de raisons pour que l’ostéopathie soit sous employée et sous efficace chez nos compagnons à quatre pattes....