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Hommage à Régis Godefroy (1945-1992)

Créé le : vendredi 2 mai 2014 par Jean Louis Boutin

Dernière modificaton le : jeudi 25 mai 2023

Le 1er juillet 1992, Régis Godefroy meurt dans un terrible accident

Après une réunion de travail du Collège Sutherland, Régis Godefroy rentrait chez lui vers 0 h le 1er juillet 1992.

À Paris, allées Passy, aux feux de croisement, Régis, sur sa moto, attend le feu vert derrière un camion.

Une voiture est arrêtée derrière lui. Survient alors une BMW folle qui projette la voiture arrêtée à plus de 200 mètres. Régis est écrasé entre la voiture et le camion. Le conducteur de la voiture, projeté, meurt lui aussi sur le coup. Le conducteur de la BMW est vivant, l’alcootest est négatif.
L’ensemble de cette page est tirée de la revue Ostéo, la revue des ostéopathes, n° 22/23 Juillet/Août 1992.


 La carrière de Régis GODEFROY


Né le : 16 Juin 1945 à Paris
Moniteur de ski alpin
Une année de chimie en 60 à Paris à l’Institut d’Arsonval.
Diplôme de Kiné : École de Sambucy à Paris.
Accompagne l’équipe de France de Foot en Amérique du Sud en tournée.
Ouvre un cabinet de kinésithérapie au 18 rue de Liège.
Rapidement ne travaille plus qu’en tant qu’ostéopathe.

Il crée le 9 mai 1973 avec J. Josse (enseignement de Paul Gény) et A. Charancon étiopathe (école de Genève) l’Institut National de thérapie Manuelle : I.N.T.M. Les cours ont lieu en soirée et le week-end au cabinet de R. Godefroy et à Valence chez A. Charancon.

En 1974 A. Brunel et Y. Lignon préparent à Sète l’ouverture du Collège National d’Ostéopathie C.N.O.

En 1975 les 2 équipes se rencontrent :

  • R. Godefroy J. Josse J.C. Lebertre pour le C.F.O.
  • A. Brunel, Y. Lignon pour le C.N.O.
  • et décident de préparer en commun à Sète et à Paris la rentrée académique 1975 tandis que A. Charancon continue seul l’INT à Valence.

    R. Godefroy choisit le nom de Sutherland pour le collège de Paris qui devient Institut William Garner Sutherland, en hommage à ce pionnier de l’ostéopathie crânienne (I.W.G.S.).
    B. Barillon élève de I. Magoun est présenté pour enseigner le crânien à Paris et à Sète.
    En octobre 75 les statuts de la Fédération Française d’Ostéopathie (F.F.O.) sont déposés à Montpellier par Brunel, Godefroy et Lignon (J.O. du 10.04.76 page 2208)
    But :
    Réunir les organismes défendant l’ostéopathie et autres thérapies manuelles, à savoir : le CNO et la CFO cela en vue de lier leurs efforts pour la recherche des sciences et des techniques les meilleures, pour promouvoir leurs applications et œuvrer utilement pour la santé publique.

    Début du cycle d’enseignement de 4 ans à raison de 4 séminaires de 7 jours par an, soit 1000 heures réparties pour moitié théorie et pratique. 40 étudiants à Sète (Lazaret) et 40 à Paris (VVF Dourdan). En novembre 76 un contrat est passé avec G. Devos de l’A.K.B. pour former les kinésithérapeutes belges aux techniques ostéopathiques appliquées à l’appareil musculo-squelettique (Le Pariétal) cycle de 3 ans à raison de 5 stages de 4 jours par an soit 500 heures environ : Lieu Malines.

    En Janvier 77 débute, à Luxembourg, un cycle identique à l’Hôtel Kons, destiné aux Belges francophones avec le concours de Guy Clausse.

    Février 77 : transfert du CNO de Sète à la Grande Motte les Cyclades.

    Juin 1977 : remise des premiers "C.O." à Dourdan à : Bardot - Guillard - Faugoin - Theulier.

    Octobre 77 : Création de la SARL "CNO" à Sète.

    Juin 78 : 2° "C.O." à Dourdan.

    Octobre 78 : sous l’égide de la F.F.O. (Brunel président et Godefroy secrétaire Gal) rapprochement de IWGS - CNO avec ATSA de Lyon, collège fondé en 75 par R. Richard - R. Perronneaud-Ferré et J. Peyrière tous issus du collège d’Etiopathie de Genève.

    Mai 79 délivrance des C.O. par le CNO à la Grande Motte et en Juin 79 à Dourdan. De ces promotions sont issus : R. Briend, R. Solano, M. Roques, B. Gabarel, L. Busquet, B. Quer, P. Glaenzer et combien d’autre encore....
    Soutenance des premiers mémoires.

    En Août 79 : le collège du Sud fusionne avec celui de Dourdan. Paris pour prendre le nom d’IWGS sarl ; Co-direction sur 5 têtes :

  • Académie Pédagogie : B. Brunel
  • Public relation : J. Josse
  • Organisation planning : R. Godefroy
  • Finances administration : J.C Lebertre
  • Matériel et technique : Y. Lignon
  • Les élèves belges arrivés en fin de leur cursus rejoignent à Dourdan IWGS France en 4 années pour compléter leur formation en viscéral et en crânien : les études passent à 5 ans : 4 fois 6 jours par an : soit 1100 h toujours théorie-pratique 50/50.

    En octobre 79 IWGS compte 5 centre d’enseignement : -* Paris Dourdan 200 élèves sur 4 années.

  • La Grande Motte 120 élèves sur 4 années.
  • Toulouse 30 élèves sur 1 année
  • Luxembourg 120 élèves sur 3 années
  • Ostmalle (Flandres) 80 élèves sur 3 années.
  • En Janvier 80, R. Godefroy connaît ses premiers démêlés avec la justice : prévenu d’escroquerie avec Brunel, Lignon, Josse, Lebertre, Barillon, Faugoin, Perrin et le Dr Billand radiologue, pour enseignement illégal etc... Vigoureusement défendus par Me Kam le T.G.I. de Montpellier prononce un non lieu.
    L’esprit d’entreprise de R. Godefroy l’amène à créer avec R. Richard de Lyon la SCRS dont les buts sont :

  • organiser un jury international en juin 80
  • rechercher un standard minima d’enseignement des sciences fondamentales
  • tenter de définir l’ostéopathie
  • établir un historique du mouvement ostéopathique
  • créer une politique de développement et d’entraide professionnelle
  • établir des contacts nombreux à l’étranger US-GB-NZ A, où l’ostéopathie est déjà structurée.
  • En mars 80 participation au salon "Marjolaine" où Régis assurera régulièrement la présence d’IWGS chaque année. Vitrine qui se prolongera ensuite au Gicare.

    Juin 80, 1er congrès Européen à Bruxelles organisé par l’ASBO et où les étudiants IWGS assistent en masse.

    15 Juin 80 jury international à Dourdan avec le Dr Skinner D.O. du registre de New Zeland. pour la première fois les 2 écoles IWGS et ATSA conjuguent leurs efforts avec succès . A. Brunel président de la F.O.F.
    Eté 80 A. Faugoin, puis A. Brunel quittent le collège.

    Janvier 81 dépôt de bilan de la SCRS. Régis Godefroy assume la liquidation de la société.

    18 Juin 81 jury international en commun IWGS-ATSA avec le Dr Azneer PhO président de l’université de Des Moines - USA - Y. Lignon président de la F.O.F. Régis Godefroy est encore à l’origine de la création du Registre Ostéopathe Français déposé à Marseille avec Robert Perronneaud Ferré, Jean Josse et Jean Peyrière. Ils définissent les conditions d’exercice de l’ostéopathie : être diplômé d’un collège agréé par le Registre, exercer l’ostéopathie de façon démarquée sans utiliser son diplôme de kiné, se déclarer auprès des organismes sociaux et du Trésor en tant qu’ostéopathe. Élaboration d’un code de déontologie et d’un annuaire professionnel.

    Octobre 81 regroupement d’un seul centre d’enseignement IWGS en Belgique à Charleroi. En France 2 centres, Paris et Bordeaux.

    Avril 82 Premiers contacts entre les équipes de IWGS et d’ATMAN

    Juin 82 Création de la Fédération des Ostéopathes Français (F.O.F.) J. Josse Président et R. Godefroy secrétaire Général.

    Juin 82 Jury international à Paris avec A. Chyla D.O., R. Ruby et Wyatt D.O.

    Développement de 3 départements au sein de la F.O.F. :

  • Professionnel : retraite, sécurité sociale, assurance R.C.
  • Juridique : défense
  • Enseignement : jury et D.O.
  • Août 82 avec le départ de Jean Josse, Régis Godefroy prend le rôle de leader dans l’équipe IWGS, Lebertre s’occupe d’administration, Lignon des plannings et des examens (D.O.).

    En Octobre 82, Régis Godefroy regroupe l’enseignement à Dourdan incite B. Barillon et B. Gabarel à créer l’académie crânienne.

    Il crée et organise des séminaires " Post graduate" ouvert aux anciens "C.O." pour les inciter à préparer un mémoire et à se perfectionner. Des journées à thème ont lieu en alternance dans chaque école : IWGS - ATSA - ATMAN.... Ces thèmes seront repris puis intégrés dans l’enseignement sous forme d’une 6° année qui préparera au D.O. examen clinique et mémoire actuels.

    Juin 83 jury international à la Sorbonne avec L. Azneer PH D., J. Peyrière président de la F.O.F.

    Septembre 84, 2° congrès européen à Bruxelles. Création d’une SPRL IWGS Belgique à Charleroi avec J. J. Debroux - Godegroy - Lebertre et Lignon. Janvier 87 entrée de L. Busquet dans la direction de IWGS.

    Tout au long de ces années R. Godefroy à particulièrement été pris à partie par la justice : 5 procès en exercice illégal dont 2 en appel et chaque fois lourdement condamné, l’ont sensibilisé aux attaques dont sont hélas l’objet les ostéopathes. Il s’est constamment tenu au courant des procès subis par ses anciens étudiants. Il s’est toujours déplacé pour les soutenir par sa présence et ses encouragements aux côtés des défenseurs de la Fédération : Me Bureau, puis Me Long, maintenant Me Jacubowitz.

    De 84 à 86, en tant que secrétaire fédéral, il a eu de nombreux contacts avec le ministère de la santé (Mme Dufoix) pour tenter d’élaborer un statut des ostéopathes aux côtés des professionnels de l’AFDO. Sans succès, ces rapprochements ont abouti à la transformation de l’outil politique ostéopathique en Union des Fédérations des Ostéopathes de France dont il prend la présidence (UFOF).

    Il suscite, organise et anime les conventions des ostéopathes en 86, 87, 88 pour engager une action en profondeur pour promouvoir une nouvelle image de l’ostéopathie en France avec l’aide d’une agence de communication et en employant les techniques du lobbying moderne. Les ostéopathes commencent à se définir, à s’identifier, la maison des ostéopathes se construit à St Ouen : CEREC.

    À la tête de l’UFOF, il crée la régionalisation pour les ostéopathes membres de l’UFOF, déléguant, transférant vraiment le pouvoir de gérer la profession vers la base.

    En 88, en même temps il crée un climat de rencontre favorable pour que les écoles au sein de la collégiale académique se mettent d’accord sur des standards, d’enseignement, de recrutement de clientèle, de professeurs et de diplôme.

    Au sein de l’UFOF il suscite des vocations parmi les jeunes pour s’occuper de leur profession. Il entretient de très nombreux contacts à l’étranger, voyage aux US, en 86, en Angleterre à diverses reprises. Il lance récemment le registre Européen des ostéopathes (REO) qui rencontre un accueil favorable en GB, en Hollande, en Belgique, en Allemagne. Tout récemment l’AOA a salué avec sympathie cette renaissance de l’ostéopathie sur le vieux continent.

    A participé avec grand brio à plusieurs émission télévisées importantes notamment à "Ciel mon mardi" ou il a contribué à faire reconnaître l’ostéopathie et la positionner favorablement par rapport à la médecine officielle.

    Combien de jeunes ostéopathes a-t-il incité et aidé à se lancer dans la vie ?

    Un sens inné de la politique et l’étude approfondie des dossiers lui permettent de voir loin, l’avenir professionnel souhaitable et surtout possible, car il est réaliste. Hélas nul n’est prophète en son pays et la communication avec ses confrères est difficile.

    Très ouvert sur le monde, il est invité à de nombreux congrès internationaux touchant aux sports, à la danse, à esthétique. Il fait des conférences en France, en Finlande, au Portugal, en Italie, au Canada, en Grèce, à Chypre, en Angleterre.
    En retour le collège Sutherland s’est ouvert sur le monde et ce sont 2500 élèves qui sont sortis de ses murs de 15 nationalités différentes depuis 20 ans.

    Animateur de premier ordre, il a d’abord le souci des personnes qui travaillent avec lui : Il leur écrit le 14.09.83 :

    « Je tiens à ce que le climat de l’enseignement et de la relation entre professeurs soit placé sous le signe de la concertation ; il n’y a pas de problème qui n’ait la solution et je pense que notre détermination surmontera les obstacles qui ne manqueront pas de surgir ».

    Et encore le 13 juin 85 :

    « Dans un esprit de justice, nous devons nous préparer à noter et à co-noter les candidats que nous aurons à juger dans un esprit de plus grande équité, tout en préservant l’essentiel pour les candidats, c’est-à-dire, le sentiment d’avoir été jugés selon leurs capacités qu’ils soient reçus ou non.
    Je compte personnellement sur l’ensemble d’entre vous pour défendre une rigueur et une honnêteté qui imposent le respect ».

    Régis Godefroy était marié. Ses fils sont maintenant de jeunes adultes de 21 et 24 ans et s’apprêtent à entrer dans la vie sans lui.
    Danièle Godefroy, son épouse, est acupuncteur traditionnel. Elle a soutenu Régis Godefroy, toujours à ses côtés marquant d’une touche féminine et de bon goût, les évènements que créait son mari. 


     Hommage des ASP à Régis Godefroy


    Mort d’un leader

    Admirateurs et détracteurs de Régis confondus, la communauté ostéopathique est en deuil.
    Les uns parce qu’ils perdent un modèle, souvent éblouissant, pour ne pas dire aveuglant, les autres parce qu’ils perdent un adversaire redoutable et valeureux sur le plan des idées. Pour tous, un battant infatigable dont la fougue a su commander le respect.
    Très tôt à ses côtés dans les débuts de ce qu’était alors la Fédération, j’ai pu apprécier sa formidable capacité de travail et sa fringale de conquêtes pour notre monde ostéopathique. Lorsque le moment fut venu de partager les responsabilités, j’ai choisi de quitter la Vice-Présidence de la Fédération pour me consacrer à la cause ordinale. Nos points de vue ont pu diverger, nos convictions s’affronter, je n’ai jamais mis en doute la sincérité de ses engagements et ma considération pour le meneur qu’il a été reste entière.
    Je conserverai de lui sa conviction, qu’en confidence il m’avait affirmée, qu’en assumant certaines fonctions, nous devenions des clowns nécessaires.
    Il n’empêche...
    Régis Godefroy nous quitte trop tôt, de toutes façons. L’équilibre précaire de notre monde ostéopathique va s’en trouver perturbé.

    Hommage du ROF

    Si nous pouvions retenir de ce qu’a été son combat, la notion d’unité, son message lui survivrait et sa lutte n’aurait pas été vaine.
    Adieu donc, Régis, et merci pour ton œuvre.
    Serge Majal
    Président du ROF

    Association Française des Ostéopathes (AFDO)

    Après la brutale et injuste disparition de Régis Godefroy.
    L’Association Française des Ostéopathes rend hommage à l’homme engagé qui sut mettre son enthousiasme, son dynamisme, son énergie et sa foi de militant au service de l’ostéopathie.
    Elle s’incline devant l’immense douleur de son épouse, de sa famille et de ses amis.
    Présente à tous les membres de l’U.F.O.F., à ces anciens élèves et élèves le témoignage de sa profonde tristesse.
    Le Président de l’A.F.D.O. Christian MARC

    Hommage de l’UFOF

    Régis... Régis, c’était un homme généreux, épris de liberté, un esprit d’ouverture, un être debout et fier, un bouillonnement un creuset d’idée.
    Régis c’était l’homme politique des Ostéopathes de France. Car tous, ont un jour, bénéficié de son dynamisme : au travers de ses actions au sein du Registre des Ostéopathes de France, des médias, de l’enseignement, des instances européennes, partout où il affirmait son souhait ardent de faire de la profession d’ostéopathe, une profession connue et reconnue, adulte, structurée qui aurait sa place parmi les professions de santé.
    Régis savait saisir l’essentiel, ce de quoi demain serait fait.
    Homme d’ avant-garde, nous l’avons souvent critiqué. Peu lui importait. Il aimait le débat, la confrontation d’idées, les discussions qui font avancer.
    Si vrai le tombeau des morts et le cœur des vivants, alors, Régis, tu es dans notre cœur.
    Que l’avenir nous réunisse, ceux dont les chemins s’écartent quelquefois, que les Ostéopathes de France se souviennent toujours de celui qui a lancé l’Union. Pour tout cela, et pour l’avenir, les Ostéopathes de France te disent merci, Régis...
    Jean-Paul SABY
    Vice Président de l’UFOF

    Hommage de la Collégiale académique

    Régis restera dans notre mémoire comme une des personnalités les plus marquantes de l’ostéopathie Française. C’est au créateur de la Collégiale Académique que je veux aussi rendre hommage.
    Michel Coquillat D.O. MRO(F) Président de la Collégiale Académique.


     De la FFO à l’UFOF en passant par la FOF.


    Sous l’égide de Régis Godefroy, André Brunel dépose les statuts d’une nouvelle fédération à Montpellier en octobre 1975 et qui seront publiés au Journal Officiel du 10 avril 1976, page 2208. Cette fédération prend le nom de

    Fédération Française d’Ostéopathie (F.F.O.)

    Ses buts sont ainsi définis :

    Réunir les organismes défendant l’ostéopathie et autres thérapies manuelles, à savoir : le CNO et la CFO cela en vue de lier leurs efforts pour la recherche des sciences et des techniques les meilleures, pour promouvoir leurs applications et œuvrer utilement pour la santé publique.

    Les Présidents successifs :

    1975 Régis Godefroy
    1978 André Brunel, Régis Godefroy est Secrétaire général
    1980 André Brunel
    1981 Yves Lignon

    Fédération des Ostéopathes Français

    En 1982, la FFO se transforme et devient la Fédération des Ostéopathes Français (F.O.F.). Son premier président est Jean Josse

    Union des Fédérations des Ostéopathes de France

    En 1986, la FOF se transforme et devient l’Union des Fédérations des Ostéopathes de France (UFOF) dont Régis Godefroy en sera le premier Président. 

L’Ostéo4pattes-Site de l’Ostéopathie remercie la rédaction de la revue Ostéo, la Revue} et Michel Coquillat, son directeur, pour l’avoir autorisé à reproduire ce numéro>



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