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Compte rendu : Table ronde - ostéopathie et développement durable

Créé le : dimanche 28 novembre 2021 par Don Maïté, Michel Chêne, Ostéo4pattes-Site de l’Ostéopathie, Philippe Prat

Dernière modificaton le : mercredi 24 novembre 2021

Il s’agit là du résumé d’un débat autour d’un thème, dans ces lignes il peut y avoir des idées, des propositions, des contradictions... n’hésitez pas à laisser en commentaire vos avis sur la question, sur un passage, sur une proposition... Nous avons sciemment décidé de ne pas nommer les auteurs et autrices des citations, en effet les tables rondes ont pour but de faire réfléchir en groupe, et non individuellement.


Qu’est-ce que le développement durable et quel rapport avec l’ostéopathie ?


Maïté Don qui a fait un mémoire sur le sujet [1] introduit la table ronde et nous livre sa définition.

« Le développement durable (DD), c’est un concept qui implique d’inclure le coté social et le côté environnemental dans le développement économique. Pour nous, c’est inclure ces aspects dans notre pratique ostéopathique.

Pour moi, prendre soin de l’environnement du patient fait partie des principes de base de l’ostéopathie. En effet cela a rapport avec le côté holistique de cette pratique étant donné que la santé du patient est influencée par son environnement. »

Une recherche sur la source même du terme développement durable et son origine historique a été faite. Il ressort 3 grands principes : sociétal, environnemental et économique et 17 objectifs [2].

Michel Chêne

Les autres participant(e)s complètent cette introduction avec leurs premières réflexions :

Un aspect durable par essence de l’ostéopathie mis en évidence : grâce au peu de ressources nécessaires à l’activité et à la réduction potentielle de la consommation de soins allopathique.

« Les ostéopathes, du fait de la simplicité de leur activité, ne sont-ils pas au cœur des solutions pour faire des soins de développement durable ? On fait partie d’une des solutions pour œuvrer au bien de la planète, notre activité est peu consommatrice d’énergie. [3] »

« Au départ, étant vétérinaire, j’ai travaillé avec des médicaments et maintenant ce n’est plus le cas. Pour moi le médicament ne va pas avec le développement durable.

« Pour le reste l’ostéopathie médecine aux mains nues s’inscrit dans le durable et l’avenir. »

« Malgré notre démographie d’ostéopathe galopante, on s’inscrit dans une société à 10 000 vitesses et on sera les bienvenus avec nos solutions peu onéreuses et ma conviction de médecin d’abord des animaux et ensuite de D.O. sur les humains, c’est que 80% des pathologies peuvent se soigner qu’avec l’ostéo. »

Un volet économique du développement durable abordé : difficulté de toucher aux finances et place de l’ostéopathie dans l’économie française.

« Quand on parle de développement durable dans notre société, on parle de développement économique. On est suspendu à notre chiffre d’affaires, à nos recettes et dépenses. A la base il faudrait changer de société, mais ce n’est pas la problématique du soir. »

« Lors de la reconnaissance de l’ostéopathie humaine en 2007 [4] et des autres réglementations qui suivirent [5], l’ostéopathie est restée en dehors des remboursements de la sécurité sociale. On ne fait pas payer la collectivité et donc on ne contribue pas à alourdir la dette publique. »

Une première problématique ressort : celle des transports liés à l’activité.

« Autre problème que je remarque dans ma pratique à l’encontre du DD, ce sont les gens qui font 50 km pour venir me voir et ce n’est pas raisonnable. J’ai moi-même fait des tournées de plusieurs centaines de km/jour pour soigner des chevaux, et c’est le point noir de la durabilité et de la soutenabilité de mon affaire. Je n’arrive pas à le contourner. Pour le reste l’ostéopathie médecine aux mains nues s’inscrit dans le durable et l’avenir. »

Réflexions sur les actions possibles de l’ostéopathe à son niveau et sur les consommations liées à son activité, état des lieux initial :

  • Lien entre l’ostéopathie et les soins allopathiques :

« On peut jouer un rôle dans la diminution de la prise de médicaments ce qui peut être très important pour une collectivité. Cependant on n’a pas beaucoup d’études et de recherches de l’avantage économique de passer par l’ostéopathie. »

« Pour moi l’intérêt de l’ostéopathie (en termes de développement durable) est de permettre de réduire d’autres soins qui peuvent être plus polluants, servir de prévention pour des maladies. Éviter des complications qui peuvent être couteuses socialement. »

Ce que consomme l’ostéopathes : l’énergie, les déplacements, les consommables

« Par rapport à une grosse entreprise on ne consomme pas grand-chose, mais un ostéo a son foyer, son cabinet chauffé, climatisé. C’est énergivore et il n’y a pas de répartition des charges comme dans un bureau. ».

« Au niveau environnemental, il y a les déplacements, il y a tous les consommables (draps d’examen, papier, imprimantes, informatique) qui représentent une dépense énergétique. »

Ce qui peut correspondre à l’aspect social :

« Mais aussi comment on peut contribuer au bien-être des individus par rapport à ce que l’on peut apporter en tant que professionnel. »

Certains ostéopathes s’interrogent sur le fait qu’on ait besoin d’en faire plus en termes de développement durable au vu du bon bilan à priori. Échange sur l’utilité en termes de communication et d’exemple de rendre la pratique ostéopathique socialement et écologiquement responsable :

« La notion de développement durable est partie d’un mouvement écologique mais ensuite, on s’est approprié cette notion pour des fins différentes ; quand on fait cette formulation, développement durable et ostéopathie, jusqu’où se situe la réflexion ? On est à la fois dans une réflexion comportementale mais aussi politique. Quel est la place de l’ostéopathe par rapport à cet engagement ? »

« Pour moi, c’est clairement politique. Montrer qu’on fait ces actions là et expliquer aux gens quel est l’intérêt de faire tout ça, c’est montrer qu’on a un impact personnellement même si on ne changera pas le monde à notre échelle, c’est permettre de le mettre un peu plus dans le conscient des gens.

Quand je parle de développement durable, je veux à la fois inclure le sociétal et l’environnemental ; Faire ce mémoire était politique, ce qu’on en fera autour le sera aussi. »

Un autre intervenant appuie l’idée que ce que l’on fait est politique et de la communication. Il y a une cohérence et une légitimité à être associé comme ostéopathe à une association pour l’environnement. Il souhaite que son association professionnelle soit également le plus écolo possible (fonctionnement, CA, AG …).


Discussions sur l’aspect social de la pratique, bilan des échanges :


« Un des objectifs est l’accessibilité des soins pour tous, humains ou animaliers, et l’égalité par rapport aux soins. Que pourrait-on dire aux ostéopathes (d’un point de vue démonstratif) pour montrer qu’on essaye d’être le plus dans une égalité des chances face à la santé ? C’est une démarche de développement durable d’après les objectifs des nations unies. »

Il y a plusieurs façons de permettre l’accessibilité :
  • Les associations dans lesquelles on peut intervenir pour différents publics dans le besoin. [6] [7]
  • Les écoles dans lesquelles ils payent moins cher.
  • Pratiquer des tarifs préférentiels dans les cabinets.
  • Inciter collectivement les mutuelles à plus rembourser.

Une enquête de la FEDOSOLI est en cours sur les raisons du non-recours et de la non accessibilité à l’ostéopathie. A suivre. [8]


L’idée est posée d’inclure le développement durable dans la formation des ostéopathes :


Au sein des écoles : on remarque une difficulté à mettre en place des mesures autour du DD dans les écoles : par exemple de mettre des poubelles de recyclage... Pour l’instant, il est nécessaire d’avoir une motivation du directeur pour aller dans le sens du durable.

« Il serait peut-être intéressant de faire un kit tout fait du durable, faire un petit livret clés en main leur permettant d’obtenir une labellisation « durable », et communiquer sur celui-ci. »

Dans les cours dispensés :

« Il serait important pendant la formation de parler du durable pour savoir sur quoi on doit agir ultérieurement (draps, chauffage/isolation…etc) »

Le mémoire de Maïté pourrait être une base pour la formation. Ceci rentre dans les décrets qui insistent, entre autres, sur la gestion de cabinet.


Discussions sur l’utilisation du mémoire pour créer des recommandations, et sous quelle forme :


« Pourquoi pas faire une fiche triptyque du cabinet durable à partir du mémoire ? et le distribuer à différentes occasions. »

« Il faudrait d’abord faire un travail de groupe pour obtenir un consensus sur des vrais recommandations qui n’existent pas pour l’instant dans le mémoire. »

« Idéalement il faudrait avoir une affiche dans le cabinet disant que l’ostéopathe s’engage pour le développement durable. »

Un groupe de travail pourrait être constitué d’étudiants, de membres d’ASP, de représentants d’école pour faire remonter les informations faisant consensus pour réaliser une plaquette (zéro papier, facturation par sms, ...). Les mémoires des étudiants pourraient déboucher sur des actions particulières. Possibilité de faire un questionnaire à l’ensemble de la profession. Monter un groupe de travail serait intéressant.

[ndlr : suite de cette discussion plus tard dans le débat]


Parlons technique : voici différents aspects sur lesquels agir pour améliorer l’emprunte environnementale de sa pratique.


Existe-t-il des études montrant l’intérêt entre drap tissu et papier jetable ?

Selon les recherches de Maïté pour son mémoire, il n’existe pas d’étude proprement dite sur les draps d’examen. En revanche, il existe des études sur les serviettes de table (serviettes papier et tissu). Ce sont des analyses de cycle de vie.

Michel Chêne

Les résultats de ces analyses montrent que l’impact dépend des caractéristiques du papier et cela peut être très différent. Ce papier doit être en pâte à papier recyclée, le plus fin et le plus adapté à la taille de la table possibles. A noter que les draps en papier sont non recyclable car constitués de cellulose. Pour le tissu, la taille doit être adaptée également et il faut prolonger le plus possible la durée de vie du drap. Le confort pour le patient est d’ailleurs souvent supérieur au papier.

On pourrait préconiser au patient de ramener son propre drap, mais ne vaut-il pas mieux garder le lavage à faire nous même pour ne pas externaliser le coût environnemental du lavage et garder le contrôle de l’hygiène ?

Autre idée : ne rien mettre sur la table et désinfecter après. Le problème est d’avoir un temps de pause du produit suffisant pour la désinfection et d’avoir un produit adéquat (bactéricide) et non toxique pour la peau.

Un autre intervenant explique que drap ou pas, c’est comme blouse ou pas, c’est une convention. On peut mettre un drap et un tissu papier ensuite. L’important c’est que les gens constatent que l’on prend soin d’eux. S’il n’y avait rien sur la table, quelle serait la réaction des gens ?

Discussion à propos de l’hygiène du cabinet associée à l’usage des draps d’examen

« S’il n’y a pas d’étude sur les infections nosocomiales en cabinet d’ostéopathie il y en a pour les cabinets (médicaux) de ville et les recommandations d’hygiène sont nombreuses (lavage de main…). Il est nécessaire de faire attention aux surfaces. »

« L’hygiénisme est trop important de nos jours. En dehors d’une nécessité de faire attention si un patient tousse, si on est fiévreux, si positif depuis 2 jours, on ne doit ne pas rentrer dans l’excès d’hygiène pour conserver un certain niveau d’immunité ; Il faut conserver un certain niveau d’échange avec les autres, être confronté à son environnement sans l’aseptiser complètement. »

Comment diminuer l’impact des déplacements ?

« C’est très intéressant d’avoir son cabinet à la maison. Je ne vois pas de côté négatif. Et ça diminue les déplacements de l’ostéopathe à 0. »

« Si le patient vient de trop loin, je l’informe qu’il y a des praticiens plus proches. »

Le principe de créer un réseau de praticiens pour rediriger les patients est posé, mais en même temps la difficulté d’en créer un est relevé. D’autant que les résultats sont ostéopathes dépendants ou que dans certains cas, les patients préfèrent consulter loin de chez eux par discrétion vis-à-vis de leur entourage. Si certaines personnes se sentent à l’aise en se déplaçant pour voir un praticien, cela fait partie du processus de guérison. C’est leur liberté. Il est impossible d’empêcher ce phénomène de se produire.

« Néanmoins, c’est à nous quand même de mettre en avant l’intérêt (ou non) de faire un grand déplacement pour recevoir un traitement. »

Le problème soulevé par les déplacements ce sont les déserts médicaux. Comme on a fait des food-trucks, on pourrait multiplier les ostéo trucks (concept qui existe dans les Vosges).

Les projets d’ostéopathie mobile sont parfois décriés (en particulier sur Facebook). Les codes de déontologie des professions médicales appellent ça "l’exercice forain" et le réglementent [9] [10] [11]. Les codes de déontologie des ostéopathes ne le site pas ou l’autorise. [12]. C’est intéressant pour aller dans une entreprise, sur un lieu de compétition. Les gens sont sur place. Donc, déplacement de l’ostéopathe sans déplacer les patients, déplacement d’une seule personne au lieu de plusieurs.

« Certains ostéopathes font des visites à domicile en vélo avec une cariole pour transporter leur table, écolo & sportif ! »

« Nous avons parlé là du cadre de la pratique courante ou de déplacement pour les personnes dans le besoin. Mais pour les formations aussi, il peut-être intéressant de faire venir le formateur auprès de ses élèves, si cela est possible. »


Quelle est la législation en vigueur pour les ostéopathes ?


Il n’y a aucune loi sur le développement durable en ostéo. En revanche, il y a plusieurs sources qui peuvent être intéressantes :
  • Les recommandations d’hygiène qui font partie du soin du patient [13] [14] [15].
  • Lois de protection des données (RGPD) [16] et notamment les données informatiques ; il y a nécessité de 3 points de sauvegarde des fichiers s’ils sont sur un serveur ; si on utilise un logiciel on est soi-même toujours responsable des données (et susceptible d’être poursuivi). De plus pour le partage des information, il faut demander l’autorisation au patient de partager les données avec un autre confrère [17].
  • Les normes d’accès à tous publics (handicap moteur, visuel) [18] [19].
    • Il y a nécessité de respecter ces données, sinon une demande de dérogation est nécessaire (qui sera acceptée que suivant certains critères). Il existe des petits récapitulatifs de tout ça sur le site de la transition durable du gouvernement [20] (ou sur le mémoire de Maïté).

Propositions pour partager l’information sur l’ostéopathie et le développement durable


[Les données techniques se trouvent en grande partie dans le mémoire de Maïté Don - Le développement durable dans la pratique ostéopathique.]

« On pourrait mettre à jour des petits guides d’installation qui passent par les associations professionnelles et même pourquoi pas passer par les ARS pour des recommandations de bonne pratique. Il pourrait y avoir un travail collaboratif qui se fasse entre ASP et fédérations. Ces informations pourraient être incluses dans les codes de déontologie des différentes associations. »

La question de faire un groupe de travail est posée. [21]

Travail de groupe et stratégie :

« Il serait nécessaire de créer une dynamique, mettre en avant la thématique, réunir des partenaires, faire de la com, puis écrire des lettres ouvertes aux établissements, aux écoles, aux ASP… »

« Il faudrait regrouper les infos venant du terrain (pour faire les publications, les petits guides), contacter les institutions, ensuite le groupe doit centraliser le projet. »

Outils de travail :

« Il y a des outils collaboratifs divers possibles selon les besoins (google drive, dropbox...). »

« Il faut faire attention au choix des outils utilisés, promouvoir les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft), c’est en quelque sorte desservir la cause, mieux vaut choisir des outils libres avec une éthique correspondante aux valeurs recherchées. »

Canaux de communication :

« Dans le groupe de cette table ronde, il y a différents canaux de communication pour les étudiants (FédÉO, étudiants en ostéopathie, UFEOA), pour les professionnel, et d’autres mixtes. Il serait facile de créer dans les pages de réseaux sociaux de ces organismes un album dédié « cabinet durable » et toutes les infos partagées aujourd’hui pourraient être relayées dans ces albums-là. Lieu de ressources pour trouver les infos. »

« Toutes les infos qui viennent de différentes sources devraient être référencées à un seul endroit. Plus facile de s’y retrouver. Par-contre dans notre cas, il faut d’abord créer les informations (recommandations sur lesquelles tout le monde s’entend) avant de les diffuser. »

« Des outils doivent être trouvés pour permettre aux gens d’aller regarder des informations, ou l’actualisation d’information, donc c’est plus une centralisation d’informations en direction de différents liens qui serait nécessaire. »

Intérêt du public pour le projet :

« L’intérêt étant d’avoir des infos synthétisées centralisées qui sont mises à jour et envoyées en système d’alerte. Mener à bien un projet demande une réflexion préalable, il est donc nécessaire de mesurer la portée du projet. Mener un audit pour voir combien de personnes sont vraiment intéressées par le sujet. »

« Pour ça, il faut savoir quelles questions on relaie sur le développement durable et quel engouement il y a ? »

Mise en place initiale du projet :

« Un support visuel pourrait être créé. Créer une infographie pour parler du projet que l’on diffuse sur pleins de réseaux, et de système de communication ou faire une vidéo courte (30’’- 1’) ou faire un petit enregistrement qu’on peut réécouter. »

C’est une façon de lancer, de générer le projet avant de recruter un groupe.

Partenaires :

« Tous les acteurs de l’ostéopathie présents à cette table ronde (Ostéo4pattes-Site de l’ostéopathie, UFEOA, FédÉO, Etudiant en ostéopathie, Ostéopathe.pro, Fédosoli, etc.) sont prêts à soutenir ce projet selon les moyens nécessaire (communication, ressources...) »

« Un album qui s’intitule « ostéopathie et développement durable » a d’ores et déjà été créé dans la Page Facebook « étudiants en ostéopathie ». »

« Le but est de collaborer, pas de chacun travailler sur le sujet pour son propre intérêt. Ce projet ne peut fonctionner que dans un travail collaboratif et d’entraide, sinon les risques sont de perdre l’essence même du sujet, reproduire les dérives du système capitaliste qui a engendré une partie du problème initial »

Si tout le monde s’y met cela pourrait créer une culture du développement durable.


N’hésitez pas à réagir en commentaire, ce débat est loin d’être clos, toute personne souhaitant amener sa pierre à l’édifice est la bienvenue.

Merci pour votre lecture


Nous remercions fortement toutes les personnes présentes et structures représentées lors de cette table ronde.

Nous remercions également Phillipe Prat pour la rédaction de se compte rendu.

Si vous souhaitez vous tenir au courant des différentes tables rondes ; rendez-vous ici : Table Ronde - Ostéopathie

[9Conseil national de l‘Ordre des médecins - Article 74 - Interdiction de la médecine foraine

[10Ordre national des infirmiers - Code de déontologie - Article R4312-75

[11Ordre des masseurs-kinésithérapeutes - Code de
deontologie - Article R. 4321-117

[13Antoniotti G, Baron R, Blech M-F, Pottercher B, Rogues A-M, Tissot-Guerraz F. Guide de Bonnes pratiques pour la prévention des infections liées aux soins réalisés en dehors des établissements de santé [Internet]. Ministère de la Santé, de la Famille et des Personnes handicapées-SFHH ; 2004. Disponible sur : https://solidarites-sante.gouv.fr/

[14Berthelot P, Kelta-Perse O, Parneix P. Bonnes pratiques essentielles en hygiène à l’usage des professionnels de santé en soins de ville [Internet]. SF2H ; 2015. (Hygienes - Recommandations). Disponible sur : https://sf2h.net

[15Savey A, Baghdadi N. Actualisation des Précautions standard - Etablissements de santé, Etablissements médicosociaux, Soins de ville [Internet]. SF2H ; 2017. (Hygienes - Recommandations). Disponible sur : https://sf2h.net

[20Ministère de la transition écologique L’accessibilité des établissements recevant du public (ERP)

[21Toute personne souhaitant intégré ce groupe de travail est inviter a envoyé un mail a l’adresse suivante : contact chez sdo.osteo4pattes.eu



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