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Approche clinique sur la sclérose en plaques

Jacques R. Gesret & Sophie M. Ekande
 
Créé le : samedi 3 avril 2010 par Jacques Gesret, Sophie M. Ekande

Dernière modificaton le : mardi 2 novembre 2021

Approche clinique de la sclérose en plaques 
 
Peut-on remettre en questions le dogme des maladies auto-immunes ?

Jacques R. Gesret Chercheur autodidacte - Ostéopathe Honoris Causa
Sophie M. Ekande M. Sc. virologie-immunologie - Ostéopathe DO 


 Les auteurs


Jacques R. Gesret
Jacques R. Gesret

Jacques R. Gesret est né le 29 octobre 1941. En 1974, son fils, Franck, est victime d’une très grave crise d’asthme le jour de ses 10 ans, le 15 juillet 1974. Ce décès, suite à un surdosage de théophylline (délivrance de suppositoires "adultes" au lieu et place "d’enfant" ) va profondément bouleverser J. Gesret qui décide de se consacrer à l’étude de l’asthme. Fin 1984, J. Gesret découvre le mécanisme qui est à l’origine de l’asthme et s’installe à Bayonne. Depuis, J. Gesret ai traité avec succès plusieurs milliers d’asthmatiques, tout en perfectionnant sa méthode jour après jour et en rédigeant ses observations pour les déposer régulièrement à la Bibliothèque Nationale de Paris. Ses travaux sont également consultables à l’Académie Nationale de Médecine de Paris, depuis 1997.
Jacques Gesret est l’auteur de Asthme : recherche fondamentale sur les pathologies du système immunitaire, (1996) et de Acupuncture et ostéopathie : vérité neurophysiologique (1997)

Jacques Gesret (1941-2016) nous a quittés le 29 décembre 2016 au Paraguay, son lieu de résidence, des suites d’une longue maladie.

On peut consulter sur l’Ostéo4pattes-SDO les 4 articles consacrés à la méthode Gesret

Sophie M. Ekande
Sophie M. Ekande

Sophie M. Ekande M. Sc. virologie-immunologie - Ostéopathe DO. Née à Paris le 15 Juin 1964. Après une année d’étude à la faculté de médecine de Bordeaux II (France) elle s’oriente vers la microbiologie et immigre au Canada. Elle obtient son B.Sc., de la faculté des sciences de l’Université de Sherbrooke, Québec, Canada et participe à une étude avec le groupe de Recherche sur les maladies Infectieuses du Porc, Faculté de Médecine Vétérinaire, Université de Montréal, Québec, Canada  : Affinity for porcine respiratory tract mucus is found in some isolates of Actinobacillus pleuropneumoniae, sous la direction du professeur Mario Jacques.

En 1992 elle rejoindra dans le cadre de sa maîtrise le groupe de recherche scientifique sur la SEP à l’Institut Armand Frappier à Montréal, dans le laboratoire of Neuroimmunovirology, Human Health Research Center, Armand-Frappier Institute, INRS, University of Quebec, Laval, Québec, Canada H7V 1B7 www.iaf.inrs.ca et sera co-auteur à l’étude suivante : Persistent Infection of Human Oligodendrocytic and Neuroglial Cell Lines by Human Coronavirus 229E, Journal of Virology, April 1999, p. 3326-3337, Vol. 73, No. 4 0022-538X/99, avec Nathalie Arbour, Geneviève Côté, Claude Lachance, Fanny Chagnon, Marc Tardieu, Neil R. Cashman, and Pierre J. Talbot. http://jvi.asm.org/cgi/content/abstract/73/4/3326.

La maternité lui fera prendre une certaine distance avec la recherche. Elle enseigne alors l’immunologie comme chargée de cours à la faculté de médecine de Montréal.

En 2001 des problèmes de santé physique lui feront connaitre l’ostéopathie. Fasciné par la portée d’une telle médecine manuelle elle rentre comme étudiante à l’Académie d’Ostéopathie de Montréal.

Depuis 2008 elle enseigne à l’Académie d’ostéopathie de Montréal et poursuit sa pratique ostéopathique avec l’âme d’un chercheur.


 Descriptif


La sclérose en plaques est une maladie qui jusqu’à ce jour est considérée comme une maladie auto immune du système nerveux central. Mais, aucune des données actuelles ne permettent d’affirmer ou de comprendre les causes de cette réaction immunitaire.

Cette étude originale démontre que la SEP n’est pas une maladie auto-immune, mais une réponse normale du système immunitaire devant assumer un "nettoyage et des réparations" suite à une autodestruction programmée de la myéline par les neurones eux mêmes.

Elle démontre également l’origine mécanique traumatique sur des structures nerveuses sensitives à l’origine des atteintes du système central dans un second temps.

Et enfin, elle apporte une solution pour bloquer cette pathologie à sa première manifestation, mais pas quand les séquelles sont irréversibles selon l’état actuel de nos connaissances.

Nous avons effectué un point complet de tout ce qui a été découvert à ce jour concernant la SEP. Certaines relations sont surprenantes, comme les statistiques le prouvent, l’augmentation des cas de SEP est directement proportionnel à l’augmentation du nombre de têtes de bétails dans certaines zones d’élevage comme par exemple au Canada, dans la province d’Alberta qui bat tous les records mondiaux de SEP dans le monde.

C’est un travail très important, qui nécessite d’être lu avec application pour pouvoir suivre le cheminement de pensée qui nous a amené à nos conclusions.

Travail commencé en 2004 et achevé seulement pour la fin de l’année 2009.

Nous ne prétendons en aucun cas guérir la SEP, mais notre expérience nous a démontré qu’une parfaite rééquilibration à la première poussée, faisait disparaitre les symptômes en suivant. Puisse ce travail ouvrir l’esprit de curiosité de certains médecins et scientifiques car tout ce qui y est démontré repose sur des arguments scientifiques irréfutables.

Le document fait 110 pages en format A4, l’équivalent de 300 pages format livre. Prix (format pdf) : 15 euros


 Approche clinique de la Sclérose en Plaques (SEP)


Extraits

Dans cette étude nous avons, Sophie M. Ekande et moi , effectué une recherche très approfondie de tout ce qui a été publié scientifiquement depuis plus de 20 ans. C’est le stade préparatoire de toute thèse qui se respecte, de faire une synthèse de toutes les données actuelles sur le sujet, déjà pour en faire le bilan et surtout pour tenter d’apporter quelque choses de nouveau, qui n’a pas été publié.

Il nous est impossible de publier notre thèse en totalité sur ce support car elle représente 100 pages en format A4, ou l’équivalent d’un livre de plus de 300 pages. Ce travail initié en 2004 vient juste de se terminer et nous a demandé une très grande rigueur scientifique, ce que nous pensons sincèrement avoir respecté en utilisant des données et des arguments irréfutables puisque reconnus du monde scientifique et médical.

Nous savons pertinemment que ce travail va soulever des réactions dans la communauté médicale, plus que dans celle scientifique, par le fait que nous évoquons une cause logique, déjà démontrée par le célèbre Professeur Charcot et poursuivie par son élève Mougeot, mais qui sont tombés en désuétude avec l’apparition du "tout médicament" et surtout de l’abandon de la clinique d’observation, remplacée par la systématisation : symptôme = prescription de médicaments. Même les preuves photographiques apportées ne pourront pas déclencher le réflexe de curiosité scientifique que la routine des prescriptions systématiques à fait disparaître chez bon nombre de professionnels de la médecine et ils ne se poseront pas cette simple question : "comment font-ils pour guérir ça alors que moi je n’y parviens jamais" ? Nous nous heurtons à un énorme problème de société. Les médecins sont voués à soulager leur patient en leur faisant consommer en permanence des médicaments fort chers et souvent aux conséquences secondaires épouvantables. Et la recherche scientifique n’est cautionnée que si elle aboutit à la fabrication d’une nouvelle molécule qui fera tourner un quelconque laboratoire. Vous n’avez qu’à en juger avec l’attribution des lauréats scientifiques. Dans le milieu médicale et des sciences de la santé pas un n’est attribué à la recherche fondamentale clinique D’ailleurs où sont donc passée les projets de recherche fondamentale en médecine ?

Mais ce n’est pas parce que le courant va dans un sens qu’il nous faille baisser les bras pour autant. C’est avec beaucoup d’espoir que nous pensons qu’après la controverse, que ce soit de la part des cliniciens ou des scientifiques, un d’entre eux aura le devoir moral d’affirmer ou d’infirmer la possibilité de cette réaction immune comme conséquence à un problème vertébral mécanique.

PRÉLIMINAIRE

« Le corps est programmé pour assurer la survie de l’espèce par ses moyens défensifs et ses capacités de réparations que déclenchent des informations véhiculées par le système nerveux périphérique et/ou central. Il ne peut donc effectuer que ce qui lui est - ou semble - utile et nécessaire pour garantir son intégrité et c’est là qu’il peut être trompé par des informations « fantômes ». Alors, nous commettrons l’erreur, en tant qu’observateurs de voir une pathologie là où il ne s’agit que de la manifestation de ses défenses et réparations … sans en connaître les causes. » [Asthme : recherche fondamentale sur les pathologies du système immunitaire. Jacques R. Gesret. 1996]

LIMINAIRE

Cet ouvrage s’adresse à tous lecteurs.
Il ne veut en aucun cas rentrer en conflit d’intérêt avec le monde médical ou scientifique. Cependant il est une invitation à une collaboration avec le milieu médical et scientifique tant dans le domaine de la neurologie, de l’immunologie, et de la biomécanique humaine. L’avancée des sciences et de la médecine ne peut évoluer que dans une ouverture d’esprit et un échange volontaire et généreux de tous ceux qui ont le pouvoir et la qualité de remettre en question des dogmes établis.
En 1974, Jacques R. Gesret perdait son fils Franck au cours d’une ultime crise d’asthme.
Cet événement déclenchait en lui le besoin de comprendre pourquoi un enfant de 10 ans pouvait mourir de cette pathologie. Ceci fut le début d’une longue quête qui n’est pas encore terminée aujourd’hui.
Absolument pas préparé à la médecine, ses recherches commencèrent à s’effectuer dans la littérature médicale et scientifique de l’époque. Le hasard lui fit rencontrer un chirurgien et fit d’eux les meilleurs amis du monde. C’est le Dr. Jean Balatre qui l’initia à la connaissance du corps humain et qui inlassablement répondit à toutes ses questions jusqu’à ce que sa mort les sépare en 1992 suite à une endocardite à staphylocoques dorés qu’il avait contractée en se piquant avec une aiguille au cours d’une opération.
Dans les années 70-80, monsieur Gesret apprit l’acupuncture traditionnelle chinoise et ensuite l’auriculothérapie du Dr. Nogier, par l’intermédiaire d’un de ses élèves médecin et de ses écrits. C’est d’ailleurs en 1985, le 20 Juillet, que le Dr. Nogier a voulu rencontrer monsieur Gesret, après avoir entendu parler de ses travaux sur l’asthme. En 1984, il s’installa à Bayonne pour y exercer l’acupuncture et l’auriculothérapie. C’est à cette période qu’il prit conscience de certains mécanismes pouvant être à l’origine de certaines pathologies comme l’asthme, les allergies, l’eczéma, etc.
Un certain nombre de règles furent établies pour encadrer ses recherches, les voici

Les clefs de la connaissance des effets ne se trouvent que dans celles des causes.
(Ghazâlî. Le tabernacle des lumières)

* Soigner les symptômes ne conduira jamais à la guérison et condamnera le sujet à consommer des substances médicamenteuses, qu’elles soient allopathiques, homéopathiques ou autres.

La structure gouverne la fonction

La structure de l’œil gouverne la fonction de la vision
La structure de l’oreille gouverne la fonction de l’audition.
La structure de la main gouverne la fonction de préhension.
La structure du membre inférieur gouverne celle de la marche
etc. la liste est exhaustive la cause est entendue.

La structure thoracique gouverne donc la fonction des organes qu’elle abrite entre autre celle de la respiration.
Une lacune de la médecine, concernant la respiration, consiste à n’effectuer que des examens fonctionnels, jamais un seul examen structurel contrairement à TOUTES les autres spécialités.

Le corps est programmé pour assurer sa survie et celle de l’espèce, il ne fabriquera que ce qui lui est (ou semble) utile pour la conservation de son intégrité.

* Il réagira en conséquence en utilisant les moyens à sa disposition : cicatrisation, défenses immunitaires, sécrétions diverses (corporelles et comportementales)

La conscience du Moi est la vision qu’a le système central de tout l’ensemble du corps, au travers du système nerveux périphérique. (Antonio R Damasio)

* Tout dérèglement portant atteinte au système périphérique (absence d’information d’un territoire ou informations parasites supposées en provenir) aura un retentissement sur le comportement psychoaffectif du sujet. Que le message soit vrai ou « fantôme » il provoquera sur l’organisme des réactions de défense qui répareront le dérèglement et/ou passeront pour des pathologies.

Une pathologie (non transmissible) ne peut exister dans un secteur cutané, viscéral, ou autre que s’il existe une cause entre ce territoire et le système central.

* Pour qu’un eczéma (ou un psoriasis) se développe dans un secteur métamérique cutané précis, il faut que des informations (vraies ou projetées) soient perçues par le système central comme provenant de ce territoire. Ce dernier réagira par des réponses appropriées.

De même pour les pathologies de type asthmatiformes : il faut que des informations projetées, sous certaines conditions, soient perçues par le système central comme provenant du plexus pulmonaire. Une information provenant d’une perte de mobilité articulaire (subluxation chondrocostale) sera perçue comme un corps étranger tentant de pénétrer dans la/les bronche(s). La première défense sera la toux pour en tenter l’expulsion ; la seconde sera le mucus pour l’enrober et le neutraliser ; la troisième (ultime défense) sera de spasmer la/les bronche(s) pour interdire une pénétration plus profonde.
Idem pour le spasme pharyngé : la compression du nerf glosso-pharyngien à sa sortie périphérique au niveau du trou déchiré postérieur se traduit par des paresthésies pharyngées (produites en temps normal par la présence d’un corps étranger) ; réflexe de toux spasmodique, sèche et non productive, qui augmente les à-coups sur la fibre ; augmentation de la toux ; spasme du pharynx en dernier recours : le corps étranger ne doit pas aller plus loin.

Toute personne présentant une pathologie (non transmissible) cutanée, viscérale et/ou comportementale, présente systématiquement des dérèglements dans sa structure et ces dérèglements sont constants dans chaque type de pathologie.

À la base : toujours un pelvis déstabilisé par une jambe courte (vraie ou fausse)
* asthme (allergies, eczéma) jambe courte à droite ; psoriasis, SEP (et diabète) jambe courte à gauche
* allergies = première côte droite subluxée
* asthme à l’effort = première côte et deuxième côte subluxées
* bronchites asthmatiformes = première, deuxième et troisième côte subluxées
* faux asthme ou spasme pharyngé = première cervicale et première côte subluxées
* eczéma = première côte et thoracique 9 (T9) à droite (foie)
* psoriasis = première côte et T9 à gauche (pancréas)

Les pathologies cutanées se développeront dans les territoires métamériques qui correspondent aux étages vertébraux, les plus en restriction de mobilité articulaire, et qui sont à l’origine de messages nociceptifs "projetés".

* L’eczéma au creux du coude est situé sur le territoire métamérique du premier étage thoracique, racine T1. Alors que la localisation classique d’un psoriasis du coude sera située sur le territoire de la racine C8 (sortie inférieure de la 7e cervicale). Mais dans les deux cas, nous avons une correspondance avec le ganglion stellaire (premier ganglion thoracique).
* L’eczéma du creux poplité correspond au secteur métamérique cutané des trois premiers trous sacrés, alors que le psoriasis de la face tibiale externe correspond à la 5e racine lombaire (l’avant du genoux, à la 4e lombaire).

Les pathologies évoquées disparaissent d’elles mêmes après la restructuration parfaite des sujets qui en sont atteints.

* L’expérience professionnelle depuis 1987, ainsi que l’expérience de près de 200 praticiens dans 17 pays du monde depuis 1996, nous donne la force de l’affirmation.

Dans le cours de son exercice, monsieur Gesret a rencontré un jour, un médecin venu faire soigner sa fille pour un asthme sévère. Pendant qu’il travaillait sur celle-ci, il regardait les livres de sa bibliothèque dont un qui aiguisa sa curiosité : « vous vous intéressez à la SEP » ? Monsieur Gesret lui répondit que oui, mais seulement par hasard du fait de n’avoir vu que trois personnes jusqu’à présent. Le médecin le questionna sur ce qu’il avait fait et surtout par le fait que ces trois personnes étaient suivies par le même neurologue, le Dr. P. Ce dernier avait pu constater des améliorations au point de supprimer toute médication après le travail de rééquilibration du corps.Ensuite, le médecin, dont nous ne divulguerons pas le nom pour des raisons déontologiques lui expliqua qu’il était spécialisé dans cette pathologie. Il lui demanda si il accepterait de voir une centaine de cas pour tenter d’en dégager des constantes dans leur observation clinique.Monsieur Gesret accepta, bien entendu.
Hélas, il lui adressa un grand nombre de personnes déjà en fauteuil roulant, pour lesquelles il n’y avait absolument rien faire.Cependant il pu voir tout de même une vingtaine de cas qui en étaient à leur première poussée. Le travail d’équilibration thoracique, surtout de la première côte, et de l’ensemble du corps, fut appliqué. Sur ce petit nombre de personnes, il s’est dégagé des points communs concernant les anomalies structurelles dont nous n’allons pas faire la liste ici, mais dont les principaux font qu’il existe une analogie avec celles qui sont constatées dans le psoriasis ! (Voies orthosympathique / parasympathique de commande thymus, pancréas, etc. et avec le diabète type I). C’est après cette étude que monsieur Gesret lança l’idée que la SEP pourrait être une forme de psoriasis interne ; le psoriasis ayant un lien avec la couche cutanée de kératine, la SEP avec la couche de neurokératine protégeant la myéline.

Une question qui doit nous rester à l’esprit que ce soit pour le psoriasis ou la SEP est : Qu’est ce qui attire les défenses immunitaires en un lieu si précis : une inflammation !
De ce fait pourquoi accepter que de grands professeurs de médecine puissent déclarer et publier dans des revues de très haut niveau que l’inflammation est une cause, comme on tente de le faire croire actuellement dans nombre de pathologies, pour justifier la consommation effrénée de corticoïdes ?

L inflammation est une réponse à une cause.

Depuis lors, les hypothèses proposées ci-dessus ont mûries et se sont ajustées, suite à deux années de correspondance avec madame Sophie M. Ekande, ayant contacté de Montréal monsieur jacques R. Gesret en 2004.Après avoir fait une recherche bibliographique sur la SEP elle trouva ses écrits sur son site internet. Fortement concernée par le sujet, puisque détentrice d’une maîtrise en virologie-immunologie (1993) et ayant travaillé en recherche sur la SEP dans le laboratoire du Pr. Pierre Talbot, à l’Institut National de Recherche Scientifique Armand Frappier.À la suite de la lecture approfondie des deux premiers livres de Jacques Gesret, elle lui affirma que si tout ce qu’il décrivait pour l’asthme était vrai, alors à ce moment là les observations effectuées sur la SEP pouvaient être le point de départ d’une nouvelle approche de cette pathologie.En 2006, à la demande de madame Ekande, il effectua le voyage au Québec pour se charger personnellement de sa formation à ses techniques manuelles d’équilibration.Trois années plus tard, après avoir pu expérimenter et valider les techniques d’équilibration, elle décide de faire, cette fois, le voyage retour et les voila assis, ensemble, à réviser les notions fondamentales de l’anatomie, de la physiologie, de la neurophysiologie et la réponse immunitaire dans le but de tenter d’élucider et de proposer le processus pathologique de la SEP.

Nous remercions particulièrement Jacques R. Gesret et Sophie M. Ekande de nous avoir autorisé à présenter et à publier les extraits de leur livre.



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