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Thèses Et Ostéopathie

Créé le : dimanche 18 février 2007 par Stephan Cayre

Dernière modificaton le : jeudi 17 mars 2011

L’ensemble des thèses vétérinaires consacrées à l’ostéopathie

Bien sur, cela fait un peu listing, mais c’est le but.

je crois avoir fait le tour, j’ai volontairement exclue la thèse de M. CABAL de 1956 parce qu’elle n’a plus d’intérêt qu’historique.

s’il en manque malgré tout, n’hésitez pas à les rajouter...

LAJOU, Laurence (L85)
CONTRIBUTION A L’ETUDE DES DESORDRES D’ORIGINE VERTEBRALE ET DE LEUR TRAITEMENT PAR MANIPULATION CHEZ LES CARNIVORES DOMESTIQUES.
Les thérapeutiques manipulatoires ont pour but de rééquilibrer l’organisme en restaurant l’intégrité de ses structures de maintien.
Les mécanismes d’apparition et d’entretien des lésions ainsi que les voies par lesquelles interviennent les manipulations ont été largement étudiées. Les techniques quant à elles, sont à présent parfaitement codifiées chez l’homme mais leur apparition est plus récente en médecine vétérinaire et elles demandent à être encore développées dans ce domaine.
La variété des troubles susceptibles d’être ainsi améliorés reste encore à découvrir. Néanmoins, le soulagement apporté lors de différents problèmes de l’appareil locomoteur des Equidés et des Carnivores semble intéressant.

DAUFRESNE, M. (T91)
PRESENTATION GENERALE DE L’OSTEOPATHIE.
L’ostéopathie est d’abord définie dans ses principes et sa terminologie de base.
Les différentes techniques de traitements ostéopathiques, corporelles et cranio-sacrées, sont alors décrites dans leurs principes.
Enfin, l’application en médecine vétérinaire est abordée et illustrée par quelques exemples.

SIONNET, Béatrice (N95)
INTERET DE L’OSTEOPATHIE DANS LA MALADIE DISCALE DU CHIEN.
l’auteur faisant référence au syndrome discal du chien, présente une thérapeutique manuelle, l’ostéopathie, émergence récente en médecine vétérinaire. l’approche diagnostique repose sur la palpation de l’ensemble du corps de l’individu, visant a relever tensions et blocages sur les structures de maintient de l’organisme.
Après une présentation des mécanismes d’apparition et d’entretien des lésions, l’auteur aborde la méthodologie manipulatoire adaptée a chaque cas.
La maladie discale apparaît alors être l’aboutissement d’une série de blocages, pouvant être diagnostiques, libérés et éventuellement prévenus par l’ostéopathe.
Cet exemple illustre l’intérêt de cette médecine comme alternative ou comme complément aux techniques allopathiques et chirurgicales classiquement employées

FOSSE, Fabrice (L97)
CONTRIBUTION A L’ETUDE DE L’OSTEOPATHIE CHEZ LE CHIEN.
L’ostéopathie est une technique de diagnostic et de thérapeutique créée par le docteur A . T. Still..
Elle repose sur une étude raisonnée de l’anatomie et de la biomécanique rachidienne.
W. G. Sutherland a étendu le champ d’action de l’ostéopathie par la mise en évidence et l’utilisation du mouvement respiratoire primaire.
C’est une médecine visant à rétablir l’équilibre biomécanique et homéostasique de l’individu en vue d’une autoguérison.

CHEVASSUS, A.-M. (L01)
LES RELATIONS ENTRE L’ACUPUNCTURE ET L’OSTEOPATHIE.
Médecines énergétiques en plein développement dans le domaine vétérinaire, l’acupuncture et l’ostéopathie reposent chacune sur des bases propres, anciennes, en partie empiriques, quoique de plus en plus expliquées par la science.
Elles trouvent leur premier point commun dans leur philosophie de médecine alternative, peu coûteuse et dénuée d’effets secondaires pour l’organisme. Elles ont une visée préventive par la prise en consideration de l’hygiene de vie qu’elles imposent, et par un reequilibrage regulier des sujets avant l’apparition de la maladie. Elles se recoupent ensuite par l’importance qu’elles accordent a la colonne vertébrale, véritable lieu de contrôle et de commande de l’organisme entier, les points d’acupuncture de traitement des viscères surplombant les sites viscéraux traites par l’ostéopathe lors des mêmes troubles.
Enfin, les théories et hypothèses quant a leur fonctionnement se recoupent amplement. Ceci prouve que les médecines énergétiques forment un seul bloc, typique de l’approche holistique de l’individu, quelle que soit la technique de traitement.

AGNERAY, F. (T03)
OSTEOPATHIE ET TROUBLES GASTRIQUES CHEZ LE CHIEN.
L’auteur se propose dans cette étude d’évaluer les possibilités thérapeutiques de l’ostéopathie (ou médecine manuelle) en cas de troubles gastriques chez le chien.
Pour cela, il étudiera l’estomac et ses pathologies en insistant sur les points nécessaires à la compréhension du mode d’action de l’ostéopathie sur cet organe.
L’ostéopathe, en agissant sur la structure, peut jouer sur la fonction : les troubles à dominante fonctionnelle seront donc traitées par ostéopathie avec le plus de profit, les autres relevant avant tout de la médecine ou de la chirurgie académiques.
Sera ensuite abordée la relation entre l’estomac et le système nerveux autonome (et surtout le système nerveux sympathique) qui permet d’expliquer au moins en partie le mode d’action de l’ostéopathie. La notion de dysfonction (ou lésion) ostéopathique occupe ici une place centrale.
Enfin, après la présentation des principes généraux de la manipulation ostéopathique, l’auteur illustrera son étude par quelques cas cliniques.
Si dans cette étude, médecines académique et "alternatives" ont été parfois séparées, ça n’est en aucun cas pour les opposer, mais pour tenter de les enrichir mutuellement.

COMTE, L. (L04)
CONTRIBUTION A L’ETUDE DE L’OSTEOPATHIE BOVINE : APPLICATIONS EN RACE CHAROLAISE.
L’ostéopathie est une médecine à part entière. Mais elle peut également se révéler tout à fait complémentaire de la médecine allopathique.
L’ostéopathie bovine apporte au praticien qui l’exerce non seulement un outil thérapeutique supplémentaire, mais également une approche nouvelle de l’animal, plus globale.
Certes, la manipulation peut trouver certaines limites de par le grand format et le peu de coopération des bovins, notamment en races à viande type Charolaise. Cependant, tout réside dans l’intention et dans la connaissance de certains points de physiologie mécanique animale.
De plus, ces limites sont peu à peu levées grâce à l’émergences de techniques dites énergétiques.

HASSINE, Fabienne (A05)
INTERET DE L’OSTEOPATHIE DANS LES PATHOLOGIES DIGESTIVES DU CHEVAL.
L’ostéopathie, technique manipulatoire récente en médecine vétérinaire, permet de restaurer l’intégrité des tissus de l’organisme. Assez bien connue dans le traitement des troubles locomoteurs, l’ostéopathie est de plus en plus utilisée pour les pathologies viscérales.
Après un rappel sur les structures viscérales et vertébrales chez le cheval, l’auteur aborde les principes généraux de l’ostéopathie.
Les lésions viscérales apparaissent comme une succession de blocages d’origine vertébraux ou directement viscéraux pouvant être libérés par des manipulations ostéopathiques.
Quelques exemples illustrent l’intérêt de cette médecine comme alternative ou complémentaire aux techniques allopathiques employées en médecine vétérinaire.

DAGAIN. Elise (L06)
APPROCHE DE L’OSTEOPATHIE EN MEDECINE VETERINAIRE EQUINE.
L’utilisation actuelle du cheval en fait un véritable athlète qui nécessite un suivi médical régulier. Chez cet animal à la biomécanique et à la physiologie très spécifiques, les contraintes liées à l’exercice physique sont souvent à l’origine d raideurs, baisse de performance, intolérance à l’effort, voire troubles de comportement, rendant la vie difficile aux chevaux comme aux cavaliers.
L’examen ostéopathique repose essentiellement sur une écoute manuelle fine, précise et délicate de l’animal dans sa globalité. Ce ressenti ne s’acquiert qu’après une pratique intense et une longue expérience. Son but est de mettre en évidence, et de caractériser, des dysfonctions se traduisant par une restriction de mobilité affectant un ou plusieurs segments ou organes du corps.
L’ostéopathe aura recours à la palpation, à des tests articulaires et/ou à l’écoute du MRP. L’abord ostéopathique ne doit pas dispenser de l’usage des techniques complémentaires de diagnostic si nécessaire : l’obligation déontologique de moyens subsiste. L’usage des différentes techniques doit se faire en fonction de chaque animal et de la nature des dysfonctions mises en évidence.

MAUPU, S. (N0 ?)
EFFICACITE THERAPEUTIQUE DE L’OSTEOPATHIE VETERINAIRE CHEZ LES CHEVAUX DE COMPETITION : ENQUETE DE SATISFACTION AUPRES DES PROPRIETAIRES.
Thèse en cours

PS : Certaines de ces thèses sont disponibles au téléchargement ici.



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