Le cas d’un bouledogue anglais avait été très parlant.
La paralysie des membres postérieurs était apparue brutalement le matin même, sans signe avant-coureur. Il était suspecté une dégénérescence des nerfs et l’euthanasie était déjà envisagée.
L’ostéopathie n’était plus que la carte de la dernière chance afin d’avoir tout tenté. Et pourtant, la manipulation du sacrum avait permis à l’animal de se relever après 10 minutes de traitement pour aller boire avant de finir la consultation !
Également le cas d’un chat Maincoon qui avait soudainement perdu la motricité des postérieurs au point que le vétérinaire des urgences suspectait un empoisonnement.
Référé ensuite à son vétérinaire traitant, il était plutôt question d’une commotion cérébrale ou encore d’un traumatisme comme un coup de pied. En ostéopathie, le sacrum était apparu très restreint sur son axe gauche accompagné d’une première cervicale restreinte et chaude. La manipulation de ces deux zones avait permis au chat de retrouver sa motricité normale dans les jours à suivre.
Et les cas, sans être légion, ont été nombreux depuis lors avec essentiellement un sacrum à la clef justifiant un signe clinique de type paralysie.
Jusqu’à Gustave en juin 2009 puis Bulle fin août et encore Jack tout récemment.
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