Salut Tous …

J’avais envoyé le mois dernier une bouteille à la mer (2043)…. les retours sont de la couleur de ce qui se passe toujours sur le réseau en ce moment.

J’ai essayé d’organiser des apérosteos à Toulouse, à Paris, en Normandie, pour en parler, j’ai eu une seule réponse positive pour les trois.

Donc je les annule et j’en tire les conclusions.

Je ne vais quand même pas faire comme Jean Louis Boutin (https://www.osteopathie-france.fr/2-non-categorise/1755-bienvenue-sur-le-site-de-l-osteopathie) qui arrête tout au 31 décembre. Et cela pour plein de plus ou moins bonnes raisons. Aussi je vais instaurer à partir de 2019 un service minimum :

– la revue disparait sous forme internet et publiée.
– le site persiste et sera implémenté en fonction de vos apports …
– L’agenda existera toujours
– les fiches de même qui resteront les seules publications papiers outre un livre que je prévoit de sortir à partir des textes déjà écrits par ma pomme et complétés pour servir de point final à mes écritures ostéopathiques.
– Les rencontres de 2019 seront organisées.

L’abonnement revue simple disparait… l’abonnement étudiant (un peu différent ?) reste, l’abonnement de soutien aussi au même prix, et les abonnements étoile.

Par le fait que je vais mettre moins d’énergie, vous pouvez évidemment décider de vous désabonner, vous pouvez aussi décider de rester même avec un service minimum en souvenir de toutes mes 15 années de soirées passées devant un ordinateur pour le réseau et me permettre de réguler financièrement ce qui a été engagé.

Il reste que au ralenti et débrayé, le réseau peut toujours fonctionner, vous pouvez toujours apporter textes, pub, lecture, etc … et si jamais un coup d’accélérateur s’annonce on pourra reprendre des projets …

Mais je suis une loco en panne.

sans_titre-8-2.jpg


Donc, si ce n’est pas un arrêt total, vous pouvez toujours stimuler de nouveaux abonnés de soutien, apporter des infos et des textes, prendre en charge une partie des petites tâches à faire … mais à la différence de ces 15 dernières années, je ne mettrais pas d’énergie à compenser l’inertie générale.

Retour en haut