Cheval attitude
Dans ce numéro 16 d’octobre,
– Un petit article sur les pieds nus… bien, mais de la modération en toute chose.
– Une annonce d’articles sur les “systèmes du cheval : “locomoteur etc…” A suivre.
– Un dossier sur l’éthologie où parlent plusieurs écoles (Barrey, Monthy Roberts, etc…)
– Une clinique de soins Haut de Gamme en Allemagne.
– Une analyse du couple peur/douleur.
– Un très bon article sur le déferrage.
– Le shiatsu de relaxation
– MTC, 2008 l’année du rat de terre.
– Soins manuels énergétiques : comment ressent-on ?
Décidément, une revue avec des sujets sympas….
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L’Essentiel
Un article dans ce Numéro 110 sur la phytothérapie, mythe ou réalité…. ?
– Oui une étude vient prouver qu’il y a un effet
– Oui le rédacteur se protège en disant que ça manque d’étude, qu’il faut faire attention selon les labos, etc…
– Arpagophytum, cassis, etc…
Oui cela manque d’étude… Qui a les sous pour financer ce qui est maintenant hors de prix pour le commun des mortels : une étude pour un médicament ou une plante ?
Oui l’ostéopathe que je suis dit : ça marche et encore mieux et à moindre dose une fois les principaux blocages et désordre du SNA levés…
Comme avec tous les médicaments d’ailleurs….
Dans le numéro 112 un superbe cas clinique sur le syndrôme de Claude Bernard Horner sur un chat après avulsion accidentelle du plexus brachial… certes toujours sans ostéopathie en complément, mais très explicite dans la pathognomonie et l’explication du syndrôme.
Dans le Numéro 113, un résumé d’article sur le Wobbler du chien qui donne à égalité le traitement chirurgical et le traitement médicamenteux… et leit motiv du 4pattes, quid est du traitement ostéopathique …???
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La Semaine Vétérinaire
N°1326 de septembre, qui nous rappelle que toutes les parésies ne sont pas dues à des hernies en nous parlant des lymphosarcomes, la tumeur médullaire apparemment la plus répandue chez le chat.
Mais aussi un compte rendu d’article (Stefen, Javma 2007, vol 231, N°10) qui redit encore une fois ce qui est évident en ostéopathie :
– Les signes radiologiques sont trompeurs… et totalement insuffisants pour faire un bon diagnostic de la faiblesse du train arrière du berger allemand suspecté de “syndrome de la queue de cheval”.
– Avec cet aveu : des chiens sans symptôme peuvent avoir des signes radiologiques aussi mauvais que des chiens avec symptômes.
– Un petit peu d’imagination :
Et si on vous proposait une méthode pour régulièrement rendre sans symptôme des chiens qui ont une mauvaise radio et des symptômes. Avec la garantie qu’ils auront toujours une aussi mauvaise radio malgré la disparition des symptômes,
vous prenez ?
Dans le creux de l’oreille je vous livre le secret… la méthode s’appelle l’ostéopathie, chut ne le dites à personne surtout !!!
N°1331, encore un article qui indique que les doses fortes de dexaméthasone en usage habituellement sur le traitement des hernies discales sont sources de complications et pas forcément efficaces.
N°1333, “l’exploration diagnostique en pathologie locomotrice équine passe par l’imagerie”…!!
Et encore à propos de scintigraphie “l’interprétation clinique des images n’en reste pas moins délicate…” comme d’habitude, dirions nous…. pourtant à plus de 1 000 euros l’analyse…. sic.
Le scanner…sous AG…. et qu’un bout de cheval…
L’IRM, “l’interprétation des images est complexe” encore !!!
Mais et le sens clinique…..de nos anciens…et puis une modification de densité de tissus donnée par l’imagerie peut elle être considérée comme la cause où la conséquence ?….bien des questions qui n’ont pas de réponse sans un examen clinique classique et…un examen ostéopathique !!!
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Cheval Mag
Dans le hors série éthologie N°19:
Faut-il monter les chevaux ?
Entre autre réaction celle de P.Chêne ostéopathe:
” Si la relation convient au cheval, il peut tout donner, y compris accepter qu’on lui monte dessus. Mais, beaucoup de maladies, douleurs et autres troubles trouvent une explication dans cette relation. A chaque fois, il faut se poser ces questions: Est ce que ma relation (au cheval) est bonne ? Est ce que le cheval a envie de faire ? Et, si l’on en tient pas compte, notre monture peut se rebeller ouvertement ou, ou bien se soumettre, mais développer un ulcère, avoir mal au dos ou souffrir de coliques. Tout compte: une bonne selle, la technique, mais aussi l’écoute. Si l’homme pense quelque chose, en dit une autre et fait des gestes contradictoires, le cheval ne s’y retrouve pas ! L’ostéopathie nous enseigne qu’il faut savoir contourner les choses (les difficultés NDLA).”
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La dépêche vét
N°1006, un résumé de conférence de l’AVEF: La rhabdomyolise à l’exercice… perfusions, AINS, décontracturant…. classique et puis… si on dégageait le principe d’hypoperfusion locale, chère à notre aîné still et sa règle de l’artère … alors peut être qu’on regarderait d’un autre œil les chauds et froids locaux, qu’on mettrait l’ostéopathie dans l’arsenal des examens indispensables à une meilleure récupération, mais dans 10 ans, dans 20 ans…..